Ce que j’entends souvent :
« Je n’ai pas de projet »
« J’ai un projet, mais il me semble inaccessible »
« Son projet est vraiment ambitieux »
« J’ai le projet de cesser toute activité »
« Quand j’aurai du temps (ou de l’argent), je réaliserai mon projet de cœur »
« C’est un projet d’envergure »
« J’ai du mal à expliquer l’intérêt de mon projet pour le collectif »
La notion de projet, si l’on regarde bien, est au centre de nos vies puisqu’il s’agit d’actes déterminés à poser dans un futur plus ou moins proche (actes qui répondent à un besoin, une attente, une aspiration).
Petit projet, projet modeste, projet ambitieux, projet pour tout à l’heure (à court terme) ou pour la prochaine décennie (à long terme), toutes nos actions ou presque sont issues de « projets« .
Si nous sommes ici, c’est pour accomplir l’Être que nous sommes. Dans le monde de l’incarnation, cela passe donc par nos projets.
Ils sont à considérer avec attention, soin et ils ont besoin de notre discernement.
Le conditionnement est souvent, à notre insu, le maître de nos mises en œuvre, ce qui les dévoie de leur direction originelle.
Regardons comment tout cela est au service de notre accomplissement.
Je vous invite à prendre part à ce temps gratuit.
L’inscription est requise.
